Qui Sommes-Nous

QUI SOMMES NOUS

Vision

Un monde sans pauvreté et sans discrimination où l’accès aux opportunités est égal pour tous, où les conditions sont réunies et les efforts sont fournis pour l’autonomisation, l’engagement politique et citoyen des jeunes et des femmes

 

 

 

Mission

  • Donner un appui technique, organisationnel et / ou financier aux institutions déjà existantes (écoles, formations médicales, coopératives, mutuelles, associations de base, comités locaux, églises, projets, etc) œuvrant dans le rayon d’action du CADRE
  • Initier des projets de développement communautaire selon la démarche de la recherche – action
  • Sensibiliser la population (à la base) en vue du développement endogène

Valeurs du CADRE

  • L’altruisme
  • L’engagement responsable
  • L’autodétermination
  • La transparence
  • La non- violence
  • La tolérance

Objectifs Strategiques

  • Appuyer les projets communautaires par la recherche-action
  • Promouvoir le genre et le développement socio-économique
  • Renforcer la sécurité alimentaire des communautés locales,
  • Contribuer à la Protection de l’environnement
  • Appuyer l’éducation formelle et la formation des métiers.

Structures du CADRE

  • Assemblée Générale
  • Conseil d’Administration
  • Commission de Contrôle
  • Coordination

Convinction

Le développement est devenu une préoccupation de tous.

Les pays dits « développés » cherchent à en sauvegarder les acquis et à en éviter les déviations et les excès, ainsi qu’à répondre aux nouvelles aspirations de leurs populations.

Les « sous-développés » se recherchent encore: suivre le modèle des premiers ou imaginer une voie qui leur soit propre; le consensus n’est pas encore trouvé (réalisé).

 

« Développement » figure parmi les mots les plus usités: les sociologues, les psychologues, les religieux, les économistes, même I ‘entrepreneur indépendant, tous en parlent et parfois, adaptent son sens à leurs préoccupations. Rares sont ceux-là qui en traduisent les principes en actions.

 

Même les quelques actions menées marginalisent certains : les populations de certains villages et particulièrement les villages perdus dans les parcs, dans les forêts, dans les coins inaccessibles de certaines régions, à cheval entre deux entités; et plus particulièrement les femmes, les veuves, les filles-mères, les jeunes (filles  et garçons) désœuvrés, les groupes minoritaires (les pygmées, …), … sont jusqu’en ce jour non ciblés, non encadrés et non associés à ce qui se fait.

Les petites associations créées par les villageois et paysans ne sont pas assistées: les responsables ne sont pas formés, elles n’ont accès ni au crédit ni aux subventions.

Les écoles manquent du matériel didactiques (]ivres, cartes,…) et les enseignants, non motivés, non recyclés ne peuvent plus « faire les miracles » et perdent ainsi leur considération. Certains enfants rte peuvent plus continuer les études parce que, tout en étant doués, ils ont des parents « pauvres » ou irresponsables.

  • Les formations médicales manquent du matériel et des médicaments, du personnel qualifiés et recyclé.

    Les conditions hygiéniques dans les villages et même dans certains centres extra-coutumiers sont déplorables. La plupart des habitants n’ont pas accès aux soins, à I ‘eau, …

    Les agriculteurs (et les éleveurs) ne sont pas encadrés.

    Ces exemples (et beaucoup d’autres) traduisent la misère, le sous-développement (Ie mal développement, …) dans lequel vivent ou  » meurent petit à petit ») les populations rurales surtout.

    Et pourtant elles sont nombreuses les ressources (foncières, matérielles, financières et humaines), les facilités, les bonnes volontés et les bonnes idées que les paysannes et paysans, les femmes et les hommes d’affaires, les intellectuels et les autorités (politico-administratives et religieuses, …) peuvent mobiliser, mettre en commun et exploiter vue d’un Développement Rural Endogène.

    Le développement est « l’ouverture aux richesses de l’humanité, la capacité d’y accéder et les moyens pour les mettre à profit pour son propre compte », disait Mgr BAKOLE WA ILUNGA.

    C’est vrai ; les pierres, l’argile, le lac, les herbes, le soleil, le vent, la force de travail non utilisée, l’argent thésaurisé, l’argent mal utilisé, mais aussi l’argent que les femmes et les hommes de bonne volonté acceptent de libérer (de donner), … toutes ces ressources peuvent être utilisées au profit des « pauvres », des « marginalisés » et élever ainsi leur niveau de vie : « revenu plus élevé, meilleur éducation, meilleurs logements, meilleurs santé, meilleure nutrition, meilleurs services sociaux, meilleurs communication, sécurité et liberté accrue ».

  • Pour y arriver, il faut une structure ; et les structures, il y en a beaucoup. Mais elles n’ont pas tout fait, elles n’arrivent pas partout, elles n’aident pas tout le monde et pas toujours. Et elles ne le peuvent pas !

    C’est pourquoi les membres du CADRE ont mis sur pied un cadre d’actions : le CADRE (Comité d’Appui au Développement Rural Endogène).

    Le développement pour lequel le CADRE est créé doit provenir de la base, d’un dynamisme interne des populations qui ont compris leurs problèmes, qui ont exprimé leurs besoins (« felt needs ») et qui acceptent d’améliorer leurs conditions de vie avec leur pleine participation (« self help »).

    Le CADRE interviendra « là où les besoins sont réellement ressentis, là où la demande est rationnelle et là où l’offre est possible en fonction des ressources disponibles ».

    D’où l’intérêt de la recherche – action.

    Le CADRE deviendrait – il un défi !

Intervention du CADRE

Le CADRE travaille avec les autres pour un monde sans pauvreté et sans discrimination où l’accès aux opportunités est égal pour tous, où les conditions sont réunies et les efforts sont fournis pour l’autonomisation, l’engagement politique et citoyen des jeunes et des femmes

Le CADRE intervient « là où les besoins sont réellement ressentis, là où la demande est rationnelle et là où l’offre est possible en fonction des ressources disponibles », selon la démarche de la Recherche – Action.

Bailleurs de fonds

  • Terre sans Frontières Canada
  • Oxfam GB
  • Save the Children
  • WWF
  • Réseau CREF
  • Care International
  • World Vision
  • Acteurs Non Etatiques (ANE) – Union Européenne

Autres Partenariats

  • Les entités territoriales
  • Les Divisions Provinciales de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel
  • Les Bureaux Centraux des Zones de santé
  • Universités
  • Les écoles primaires et secondaires
  • Le Réseau International pour une Economie Humaine (RIEH)
  • L’Institut de Formation Humaine Intégrale (IFHIM) du Canada
  • Les Confessions religieuses
  • Les organisations de base et Comités locaux

NOS PARTENAIRES

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