Cela s’est passé un 28 août 2010: «Daniel Ducarme, quel bonhomme!»
Il est décédé dans la nuit de vendredi à samedi, à l’âge de 56 ans.
(article paru le 30 août 2010)
Clanique (entre Les Tontons flingueurs et Jean, François, Paul et les autres), gouailleur, bluffeur, manœuvrier, stratège, Daniel Ducarme concevait la vie politique, à laquelle il s’adonnait avec plaisir – jouissance –, comme un joueur sur l’échiquier, toujours à la recherche d’un « coup ».
Il en fit de bons, car il avait du flair. De mauvais (parfois à de proches camarades, quand c’était l’heure des règlements de comptes, dont il fut parfois l’orchestrateur, d’autres temps la victime : les risques du métier), car il était sanguin, prédateur, et pouvait se montrer brutal – pas méchant pour autant, c’est possible en politique.
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