Les Racines élémentaires de Jacques Dutronc : « Je suis passé au bon moment, au bon endroit »
Making of
Mardi 28 novembre. Alors que le roi Philippe et la reine Mathilde rendent visite à la rédaction, crac boum hue !, nous prenons la fuite vers la Corse et mettons le cap sur le village de Monticello, où nous attend l’élégant empereur et play-boy de la chanson française.
Il aura fallu trois mois de négociations pour décrocher cette interview – et bon sang, on en rêvait. L’occasion est idéale : le fils du Père Fouettard publie ses mémoires. Ils sont jouissifs. Voilà l’heure de se mettre à table.
Planqué depuis plus d’un demi-siècle sur les hauteurs de Monticello, Jacques Dutronc, 80 balais, nous reçoit dans son salon blanc, cigare de pharaon au bec, lunettes feutrées posées sur ses yeux pâles de clown mélancolique. Au loin, paysage imprenable, la mer, radieuse et impassible. Dehors, une quinzaine de degrés, un ciel azur, et quelques chats qui siestent en nous jaugeant.
Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique (PDF) Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagirPostez le premier commentaire