Chimay Nouveau client en perspective pour l’intercommunale déficitaire : Abattoir cherche salut dans l’islam
Article réservé aux abonnésJournaliste au pôle Economie
Par Mathieu Colinet
Temps de lecture: 2 min
Entre l’étable et la table, il y a l’abattoir, comme dit le slogan. Celui de Chimay, situé dans le zoning de Baileux, ne se porte pas bien. D’année en année, l’AIMAC (Association intercommunale mixte de l’abattoir de Chimay), qui le gère, est bien obligée de constater que la structure n’est pas rentable. Et de quémander auprès des quatre communes partenaires (Chimay, Froidchapelle, Momignies et Couvin) quelque argent pour joindre les deux bouts. En 2009, par exemple, chacune des administrations a dû débourser plus de 30.000 euros pour éponger le déficit annuel.
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